mardi 28 décembre 2010

samedi 18 décembre 2010

lundi 6 décembre 2010

Base généalogique ... Dernière mise à jour pour 2010 ...

La dernière mise à jour pour l'année 2010
de ma base généalogique vient d'être effectuée ce jour :

Celle-ci compte actuellement 17.270 patronymes
pour un total de 273.156 individus enregistrés


Le département de la Meuse est le plus représentée avec 214.269 individus enregistrés. Les autres départements lorrains représentent : 6.415 individus pour les Vosges - 3.025 individus pour la Meurthe et Moselle - 2.719 individus pour la Moselle - Les deux départements limitrophes représentent 7.542 individus pour La Haute Marne et 6.722 individus pour la Marne.

Bonnes recherches sur ma base
généalogique logée chez > Généanet


mardi 30 novembre 2010

65ème commémoration à Robert-Espagne ...

Il faut compenser l'absence par le souvenir.
La mémoire est le miroir où nous regardons les absents.
Joseph Joubert

Ne pas oublier ... cliquer > 29 aout 1944


« Cette année, avec l’autorisation de la mairie, pour la 65eme célébration des cérémonies commémoratives du 29 août 1944, Jean-Pierre Fraiche fils de fusillé avait rassemblé 38 photographies de victimes de cette malheureuse journée d’août 1944. Il avait, sur des feuilles de papier, imprimé ces photographies et noté les noms et prénoms des 38 victimes avec leur date de naissance et le lieu de leur inhumation. Pour les 13 autres martyrs dont il n’avait pu se procurer les clichés, il avait juste inscrit leurs identités et demandé que si des personnes savaient où se procurer ces photos manquantes, il leur était possible de le signaler à la mairie du village. Ces feuilles plastifiées ornées d’un ruban tricolore étaient fixées sur des plaques de bois. Il avait disposé ces plaques de bois sur 51 supports peints de blanc, et implanté le tout, tout autour du massif central. Il a estimé que grâce à cette modeste présentation, toutes les victimes ont eu droit aux mêmes honneurs. Il faut se rappeler que de nombreux martyrs du 29 août 1944 ne sont pas inhumés sur le tertre et que de cette façon symbolique tous étaient là, rassemblés cette année. Cette présentation émouvante pour certaines personnes ayant vécu cette tragédie a beaucoup plu, elle a pu faire connaître aux jeunes et aux nouveaux habitants du village et des villages environnants les visages de ces pauvres et trop jeunes suppliciés. Elle devait être retirée le soir après la cérémonie, mais au vu des nombreuses félicitations reçues et de l’insistance de plusieurs personnes, Jean-Pierre Fraiche a décidé de la laisser en place huit jours de plus. Il se permet ici de remercier les autorités militaires, religieuses, les porte-drapeaux et toutes les personnes venues encore en grand nombre cette année, se recueillir sur les tombes. Il faut toutefois regretter le temps exécrable cet après-midi là. »

Jean Pierre Fraiche recherche toujours les portraits
manquants des victimes du 29 août 1944

Cliquer > I C I
Vous pouvez le contacter
par téléphone au 03.29.75.46.26

ou par mail : jean-pierre.re@free.fr
Merci de l'aide que vous pourrez lui apporter dans cette quête !

jeudi 11 novembre 2010

Ancien moulin de Saudrupt ...

Sur la chronologie historique : Monsieur Georges Marche exploitait une huilerie au bord du canal. C'est à son emplacement que Messieurs Colard et Breque sollicitent l'autorisation de construire une filature. Un incendie ravage de la filature Colard Frères en 1871 et elle ne sera pas reconstruite. C'est le banquier de Bar-le-Duc, Monsieur Paul Varin-Bernier qui achètera les ruines de la filature pour y faire construire une fabrique de pâte à papier et il fait utiliser la turbine hydraulique pour actionner plusieurs moulins à chiffons. En 1894, il vend l'ensemble au futur fondateur des Papeteries de Jeand'Heurs. En juin 1948, les papeteries vendent l'ensemble à Monsieur Henrion, meunier de Rupt-aux-Nonains qui transforme le site en moulin à farine. Il cède son moulin en octobre 1955 aux Frères Nicolas de Rancourt qui continuent son exploitation jusqu'en juillet 1976, date de cessation d'activité. Les Héritiers Nicolas vendent la propriété à la pisciculture Gabriel de Rupt-aux-Nonains qui transforme le site en station d'élevage, d'éviscération et de fumage de filets de truites.
Voir aussi > HUILERIE et > FILATURE

samedi 23 octobre 2010

Travaux généalogiques ...

Voici un point sur mes travaux généalogiques

A mi-octobre 2010 ma base sur Généanet représente
267.155 individus compilés et rattachés
soit 16.929 patronymes différents enregistrés

Sur les 4 départements lorrains le détail est le suivant :
MEUSE : 208.725 individus
MEURTHE et MOSELLE : 2.955 individus
VOSGES : 6.353 individus
MOSELLE : 2.668 individus


Les départements limitrophes ne sont
pas oubliés pour autant avec :
MARNE : 6.047 individus
HAUTE-MARNE : 7.188 individus


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Une mise à jour vient d’être effectuée sur l’article
des victimes du Martyrologue de 1944 des 4 villages meusiens
et une partie supplémentaire des victimes viennent
d’être insérées dans leur branche généalogique familiale
cliquer >
Robert-Espagne
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jeudi 9 septembre 2010

Mariage enregistré deux fois ...

Cliquer sur l'image pour lire le texte

vendredi 6 août 2010

Une mante religieuse au jardin …

J'ai surpris cette mante religieuse
dans mon jardin où elle semblait
très à l'aise sur un arbuste de buis ...

... tellement à l'aise qu'elle avait aussi l'air
de
prendre plaisir à se faire photographier !

Cliquer sur les photos
pour voir les détails


Pour la petite histoire ...
Mon jardin est
situé dans l'Ouest de la France,
mais les
arbustes de buis proviennent de Saudrupt (Meuse)


En savoir plus ?
Cliquer sur > Mante Religieuse

jeudi 29 juillet 2010

C'est l'été ... il fait soif ...

Ancienne plaque émaillée
Il fait soif ... il faut boire ... mais ... avec modération !

Il fait aussi ... soif de savoir ... alors :
C'est en Meuse que l'on peut découvrir
le Musée Européen de la Bière > CLIQUER

vendredi 23 juillet 2010

Pollenisation ...





Photos Y.Vinot Juillet 2010

mercredi 14 juillet 2010

A l'occasion du 14 juillet ...

La Marseillaise et tous ses couplets

En savoir plus ? ... Cliquer > ICI

jeudi 8 juillet 2010

Donnez votre or, qu'ils disaient ! ...

Au cours de la guerre 1914-1918, les pouvoirs publics avaient fait appel à la générosité des civils pour qu'ils participent à l'effort de guerre en versant leur or "pour la victoire" ... En contre partie, la Banque de France échangeait l'or contre des billets de banque et délivrait un "beau" reçu, comme en témoigne celui-ci.

jeudi 17 juin 2010

Autre temps ... autres moeurs ... et pourtant ! ...

Affiche publié à l'occasion du 1er mai 1912

Documents extraits du
"Livre unique de morale et d'instruction civique"
de A.Poignet et H.Bernat en 1898

Cliquer sur les images pour lire les documents

mercredi 9 juin 2010

Souvenir Meusien ...

Chemin de Fer de Guë à Menaucourt
En savoir plus ... Cliquer > ligne G.M.

mardi 11 mai 2010

Léon Alexandre CARRIER, architecte, Paris

Signature sur acte de mariage de 1909

Qui était-il ?
Quelles traces professionnelles a-t-il laissé ?

Existe t-il encore des descendants contemporains ?

Voilà, ça recommence avec les questions … La recherche généalogique n’est souvent qu’une série de questions dont il faut chercher la réponse, mais dès que ces réponses sont trouvées, en même temps, elles déclenchent une autre série de questions … Et la recherche continue !

Léon Alexandre Carrier était architecte à Paris. Il est né dans le douzième arrondissement ancien de la capitale, le 18 octobre 1851, fils de Hugues Carrier et de Anne Clerambault. Il a épousé le 5 mai 1880 à Paris, septième arrondissement ancien, Marie Marguerite Victorine Delbrouck, fille de Joseph Louis Delbrouck, architecte, et de Jeanne Delphine Dary.
Dans la conclusion du dossier biographique sur le père de Marie Delbrouck – lire ou relire en cliquant sur > INDEX – la question posée était : « L’architecte a-t-il encore des descendants en ligne directe ? »
Pour pouvoir réponde à cette question, il fallait d’abord pouvoir répondre à ces autres interrogations : Marie Delbrouck s’était-elle mariée ? Où ? Avec qui ? Dans l’affirmative avait-elle une descendance ?
J’ajoutais en substance … « d’autres traces subsistent probablement encore … » Ce n’est pas faute d’avoir cherché pendant très longtemps, en vain, mais la difficulté demeure plus grande lors de la recherche d'un l’éventuel mariage d’une personne de sexe féminin, surtout sans connaître le patronyme de l’époux …
Et puis … 130 ans presque jour pour jour de la date du mariage de Marie Delbrouck ... voici qu’une trace vient se révéler … Sans crier gare, elle vient se dévoiler pour répondre aux questions restées en suspens depuis pratiquement une vingtaine d’années … Cela montre aussi qu’il ne faut jamais se décourager dans la pratique généalogique !
C’est grâce à Mme Isabelle Jérome, qui à l’occasion d’un contact sur une famille Delbrouck (dont un des membre à été peintre-sculpteur et qui fait aussi l’objet d’une recherche -voir en fin du présent article-) a mis la main sans le savoir sur la piste de Marie Delbrouck. Je la remercie encore bien vivement pour ses relevés dans les archives numérisées.
Marie Marguerite Victorine Renée Delbrouck … Marie … Dont son père écrivait dans sa lettre du 15 février 1871 qu’au cours du Siège de Paris : « Marie grandit beaucoup … Ma brave Marie habillée en garçon m’a accompagné pendant 2 mois ½ et a aussi donné, autant qu’elle le pouvait, un exemple qui aurait dû être plus suivi … » Marie … Dont Marie Pape-Carpentier, directrice de l'école normale maternelle, dans ses lettres à Paul Milliet écrivait : "... Que je voudrais pouvoir dire à Mr Delbrouck tout ce que je pense et l'arrêter lui aussi. La vue et la pensée de sa pauvre petite Marie me tue ..." Dans une autre lettre, à la mère de Paul Milliet, pendant la Commune de Paris, elle écrivait encore : " Si j'apprenais que vous êtes tous bien portant, je respirerais. Quand je dis tous, je pense à Mr Delbrouck aussi et à sa chère petite Marie ..."
Cette chère Marie … dont on n’avait plus retrouvé de traces depuis la Commune de Paris … s’est donc mariée en 1880, à l’âge de 24 ans avec … un architecte … Léon Alexandre Carrier, de cinq ans son aîné. Voir en ligne en cliquant sur > FICHE
Le début de ces nouvelles recherches permet de retrouver deux fils.
Le premier : Henri René Carrier, né le 10 avril 1881 (7ème ancien) dont ses parents habitaient à cette date, rue du Bac à Paris (7ème ancien). Au moment de son mariage en 1909, il habitait avec ses parents qui étaient alors domiciliés au 260, rue Saint Jacques à Paris. Il était aussi architecte !
Le second : Pierre Carrier, né vers 1886, était témoin au mariage de son frère en 1909; à cette époque il avait 23 ans et était élève à l’école Centrale.
Y a-t-il d’autres enfants ? Les recherches sont en cours …
Il convient de «fouiller» tous les arrondissements parisiens car les parents ont pu se déplacer … et puis … on peut encore se trouver bloqué par « la loi des moins de 100 ans » qui, bien que passée à 75 ans depuis juillet 2008, reste appliquée dans les archives numérisées, mais pas que numérisées … comme on peut souvent en faire le constat !
Toujours est-il que le premier enfant, Henri Carrier a épousé à son tour le 20 juillet 1909 à Paris (5ème) Marie Louise Campenaire, fille de Alphonse Désiré Campenaire et de Henriette Augustine Boisset, née le 11.01.1879 à Melun (77), veuve en premières noces de Paul Auguste Charbonnier. Henri Carrier s’éteindra à Paris (8ème) le 19 juillet 1961 à l’âge de 80 ans; il était Chevalier de la légion d'Honneur, titulaire de la Croix de Guerre 14/18 et de la médaille militaire avec palmes. A son décès il habitait au n° 7, Square du Roule, Paris 8ème.
Quant à son frère Pierre Carrier, âgé de 23 ans en 1909, qu’est-il devenu ? … S’est-il marié ?
Les nouvelles questions sont posées :
Y a-t-il des enfants issus du couple Carrier-Campenaire, et dans l’affirmative toujours des descendants contemporains ?
Dans la mesure où Pierre Carrier s’est marié … Avec qui ? … Où ? … Quand ? … A-t-il des descendants contemporains ?
S’il se trouvent des descendant(e)s de l’un ou de l’autre de ces deux frères , et qui viennent à lire cet article, (où si quelqu’un en connaît) qu’ils (elles) n’hésitent pas à me contacter !

Par ailleurs, visiteurs et visiteuses de ce blog vous pouvez peut-être avoir quelques informations (ou connaître quelqu'un qui pourrait en avoir) sur le peintre-sculpteur français :
- Louis Alexis Delbrouck
, né le 27.10.1857 à Paris, qui a aussi habité à Ste Aulde (77) Il était fils de Henri Delbrouck et de Aimée Victoire Françoise Pourreau.
Voir cette famille à partir
de la fiche > Henri Delbrouck

Si c'est le cas, n'hésitez-pas à me contacter
ou à l'indiquer dans commentaires ci-dessous ... Merci par avance !

mercredi 28 avril 2010

dimanche 25 avril 2010

Anciens maires de Saudrupt ...



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